Mercredi 19 février 3 19 /02 /Fév 17:19

Au lycée, je n'avais pas vraiment d'amis. Je me sentais différente, honteuse de préférer les hommes. Je ne voulais pas que les autres le sachent, et pour cela, je les fréquentais le moins possible. Certains mecs me plaisaient, mais plus encore quelques profs de part leur maturité. Plutôt que d'écouter avec attention les cours, je me perdais en rêveries et fantasmes. Celui que j'avais le plus souvent était celui-ci :

 

Dans ce fantasme, j'étais une femme. Plutôt une jeune fille, étudiante de l'école, ressemblant à une actrice porno : gros seins, maquillage, tenue étudiante sexy. Je suis en train de fumer en douce, lorsque mon professeur me surprend. et comme c'est contre le règlement, il me prend en retenue après la classe.

"Alors, Jennifer, qu'allons nous faire de vous ? D'abord absolument aucune bonne note, maintenant ça... Je vais devoir prévenir vos parents !

- Non, monsieur, je vous en prie. Ils vont être furieux. Je ferais tout ce que vous voudrez, mais pas ça.

- Je ne vois qu'une chose c'est de vous punir moi-même.

- Tout ce que vous voudrez, monsieur."

 

Il me fait pencher en avant, mains sur le bureau un peu trop bas vu mes hauts talons. Les jambes écartées, fesses en l'air, il soulève le peu de jupe qui les cache, caresse mon cul, puis HAN ! Une première claque. HAN ! Encore une. Au fur et à mesure, je commence à mouiller mon string. Il s'en apperçoit. je deviens chaude. Il me retourne face à lui, glisse sa main dans mon string, puis me doigte. Il m'embrasse en me masturbant. Je le sens dans ma chatte. Il me mets ensuite ses doigts pleins de mouille dans la bouche. Il baisse son pantalon, puis m'ordonne de sucer. Prise entre lui et le bureau, je m'accroupis et prends sa queue dans ma bouche. Je suce avec avidité. Après une bonne grosse fellation, il me fait asseoire sur le bord du bureau, cuisses écartées. Il enlève mon string, me lèche un peu la chatte, avant d'y mettre son pieu. Il me baise, encore et encore dans de multiples positionspuis avant d'éjaculer, me fait agenouiller devant lui. Il vide sa foutre sur moi.

"Enfin une matière ou tu mérites une bonne note !

- C'est vrai monsieur ?

- Ce n'est pas parfait, mais tu as du potentiel. Avec quelques cours privés ca devrait aller."

Depuis, il me prend en retenue une foi par semaine (plus si je n'ai pas fait mes devoirs ;) ce qui arrive parfois). Et j'ai de bien meilleures notes avec lui puisqu'il note désormais mes performances.

 

Voila le genre de choses auxquelles je rêvais en cours :)

Par travestiejennifer
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Dimanche 19 janvier 7 19 /01 /Jan 12:47

Depuis ma première nuit de tapin, j'ai réédité la chose plusieurs fois par semaine. Les prostituées semblent avoir accepté ma présence, sans doute parce que nous ne convoitons pas le même marché. J'avoue prendre plaisir lorsqu'une voiture ralentit devant moi et que l'homme à l'intérieur me matte sans que je puisse savoir à quoi il ressemble. Je leur fais signe pour montrer que je les ai vus et que je suis disponible. Parfois la voiture continue sa route, et quand elle s'arrête, mon coeur s'accélère. En tant que pute, je n'ai pas le choix. Je dois y aller. C'est aussi une forme de soumission assez agréable. Je fais quelques pas vers la bagnole du client, me penche à la fenètre cul en arrière et parlons des tarifs. Très généralement, il me propose de monter, et m'emmène sur un parking faire ma passe. Je crois avoir eu un peu de tout : de jeunes minets en voiture de sport aux gros pervers parfois âgés. Peu m'importe. J'ai aussi eu droit a un bel étalon de 45 ans environs, bien membré. Un mâle comme je les aime. J'aurais du lui donner mon numéro.

 

J'hésite à faire du trottoir mon activité principale. Je pourrais aller me faire des extentions capilaires pour me féminiser plus et des piercings sexys. J'ai, j'avoue, un peu peur de comment je serais en prenant de l'âge. Peut etre aussi me trouverais-je un amoureux ? Je ne sais pas encore, mais c'est bien ce que j'envisage.

Par travestiejennifer
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Lundi 23 décembre 1 23 /12 /Déc 09:54

J'avais passé une annonce sur internet ce soir là. L'un de mes fantasmes était qu'un homme me fasse l'amour. Il devait me recevoir chez lui, nous aurions discuté un moment, nous serions rapprochés, puis embrassés. Enfin, il m'aurait baisée et aurions pu passer la nuit ensemble.

 

Je n'ai pas reçu de réponse, et suis donc allée draguer sur les aires d'autoroute comme j'en avais l'habitude. Hélas, aucun homme ne s'est présenté à moi. Le froid les a sans doute incités à rester chez eux. Il ne me restait qu'une option, puisque j'étais vraiment en manque : je me suis rendue en ville dans le quartier ou des filles attendent sur le trottoir de se faire aborder pour quelques billets. Comme vous le savez, j'aime ressembler à une pute, et j'étais donc tout à fait dans mon élément. D'habitude timide et discrète, j'ai osé me poster dans une ruelle à la lumière d'un lampadaire. Les voitures ralentissaient pour m'observer comme ils observaient les filles. Une voiture s'arrêta. Sans gêne, je me dirigea vers le conducteur qui me demanda si je sucais pour 20 balles. N'ayant aucune idée des tarifs, je donna mon accord. Il me répondit qu'il allait faire et repassera sans doute un peu plus tard. Quelques minutes plus tard, une autre voiture s'arrêta. Celui-ci me fit monter de suite pour me baiser dans un parking. C'était un homme arabe, d'âge assez mur. Il me donna d'abord un billet, puis je commenca  par lui sucer la queue. Ensuite, il sortit, mit une capote sur son pieu bien dressé, puis m'enfila. Il éjacula très vite, ce qui me fit assez plaisir : d'abord parce que je devais sans doute lui plaire, deuxièmement car plus ca va vite, plus vite j'aurais un nouveau client. Il me ramena vers mon bout de trottoir ou je me remaquilla. Celui qui m'avait proposé une pipe pour 20 repassa et s'arrêta. il me fit monter, et m'emena dans un parking, bien plus loin. Arrivés dans l'endroit, il ouvrit son pantalon, puis je commenca à travailler. Il était beaucoup plus endurant que le client précédent. au bout d'un moment qui me parut une éternité, il finit par éjaculer dans ma bouche. Je me remaquilla, le remercia, puis il me ramena non pas à l'endroit ou il m'avait pris, mais un peu moins loin. Je du marcher dans cette rue au milieu des filles pour retourner vers mon tapin. Certaines riaient, une autre, qui m'avait vu descendre de la première voiture et remonter presque tout de suite dans l'autre engagea la conversation. Nous avons discuté boulot pendant que les voitures ralentissaient. La nuit continua ainsi un moment, puis fatiguée, vers 4h du matin, je rentra chez moi.

 

Faire le trottoir, j'en avais souvent rêvé sans jamais oser. J'ai aimé cela, car le fait d'être payée permet non seulement de joindre l'utile à l'agréable, mais aussi donne un pouvoir aux hommes sur moi, rendant le retour en arrière quasiement impossible. J'étais aussi excitée à l'idée de ne pas choisir avec qui le faire. Encore un côté soumission. J'avoue que j'ai aimé ça, et que sans doute je recommencerais.

Par travestiejennifer
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Vendredi 13 décembre 5 13 /12 /Déc 21:29

J'ai eu de nombreuses autres expériences avec des hommes. La plus part sur des aires d'autoroute, d'autres, plus rares, que j'ai reçus chez moi. Il y avait en particulier ce mec. J'avais passé une annonce sur internet disant que je recevait chez moi pour du sexe. Et il m'a répondu. Nous avons pris contact au téléphone et rendez-vous chez moi. J'étais habillée féminine, mais celui-ci m'avait interdit tout parfum et tout rouge à lèvre que je pourrais laisser sur lui, car il était marié.

 

La sonnerie retentit. J'allais ouvrir en tenue d'étudiante sexy et bottes. Je le fis entrer, il me scruta et me jugea à son goût. Il me demanda ou nous allions. C'était dans le salon qu'il allait faire son oeuvre. Il était vraiment mignon. Bronzé, cheveux très courts, environ 40 ans.

 

Je commenca par sucer. L'ouverture du pantalon dévoila un engin de beau calibre. Il menait la danse, décidait de tout. Il finit par se déshabiller entièrement et dévoiler son corps musclé de mâle. Il avait bien compris que j'était complètement passive, et j'appréciais cela. Il m'ordonna de lui passer une capote pour me sauter, ce que je fis. Il mis du temps à me pénétrer, mais y arriva enfin. Il me disait des mots crus, me tapait les fesses, me caressait pendant qu'il me prenait en levrette. Je me sentais vraiment femme à nouveau, plus que jamais même. Je ne comprenais pas comment sa femme ne pouvait pas le satisfaire. Un beau gâchis. Si j'avais été à sa place, il aurait pu me baiser à convenance. Il finit par se vider, puis repartit presque aussitôt. J'étais comblée.

 

Il me téléphona le lendemain, et je n'ai pas osé répondre. Nous ne nous sommes plus revus depuis. Je pense que j'ai pris peur, car je crois aujourd'hui que je tombais amoureuse. Je pense d'ailleurs toujours à lui parfois. Je n'aurais du coup pas supporté de n'être que sa maitresse, un plan cul. J'aurais voulu plus car il était parfaitement mon type d'homme. Je me surprends parfois à rèver de ce qui aurait pu se passer si nous avions eu une liaison. Peut-être se serait-il séparé pour (à cause ?) de moi ? Peut-être aurions-nous vécu en couple, moi en femme 24/24, 7/7, belle pour lui, sexuelle, soumise et disponible ?

Par travestiejennifer
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Jeudi 12 décembre 4 12 /12 /Déc 20:54

Je mis plusieurs mois à ravoir une relation sexuelle avec un homme. Mais comme à ce moment là j'étais décidée, je me la suis jouée vraiment pute. Je suis allée la journée dans un super marché du sexe comme il en existe en Suisse. Là, j'ai craqué pour une magnifique robe courte : haut vinyle et bas en tule, noir transparent. J'étais gènée lors de l'achat puisque la vendeuse est entrée dans la cabine, me prévenant avant qu'elle avait l'habitude de ce genre de chose. Elle me vit avec le string que j'avais mis sous mes vêtements masculins, en train d'essayer une robe. Elle m'aida, l'ajusta.... Et je finit par l'acheter.

 

Je rentra chez moi, me prépara, puis la nuit venue, je mis mes bottes - commandées sur internet, bas, porte jaretelles, string et me maquilla. Je me rendis sur une aire d'autoroute ou très vite, des hommes se masturbant tournèrent autour de moi, sans jamais m'aborder. Je me rendis sur l'air suivante, puis derrière les toilettes publiques, un homme m'aborda enfin. Je lui caressa la bite, puis l'engloutit dans ma bouche. au bout de quelques temps, il me proposa de me "baiser". Je ne me fis pas prier. Je lui passa une capote, me retourna et me pencha en avant, mains contre le mur et jambes écartées. Me faire baiser ? Je n'attendais que ça. Me sentir femme, sentir la queue d'un homme en moi (rien aà voir avec mon vibromasseur), devenir une salope d'autoroute ? Avec grand plaisir. Il eut du mal à rentrer, par manque d'habitude de ma part, mais y arriva finalement. Je me faisait sauter derrière des chiottes publiques. Je n'en revenais pas. Un autre mec se branla en nous regardant. Mon baiseur me demandais si j'aimais ça. Mes gémissementétaient une réponse très positive. Il me traitait de salope, de vide couilles, et autres noms que je trouvais, pour ma part, gratifiants, puisque c'est ce que j'aspirais à être. Il se vida, enleva la capote, et caressa mes fesses en feu.

 

Nous rentrâmes chacun chez soi, heureuse pour ma part, voire même comblée.

Par travestiejennifer
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